Plus sérieusement dit, on sait qu’entreprendre, c’est prendre un risque. L’entrepreneur, comme l’explorateur, doit tracer et choisir son chemin, avec une audace mesurée. Et bien assimiler son risque pour bien réussir son pari dans un univers d’incertitude.

Faire croire qu’il est possible d’entreprendre sans risque constitue donc une faute professionnelle grave ! Alors, quelles sont les conditions optimales qui permettent de prendre ce risque en toute sérénité? Même s’il y en a beaucoup, je vais en proposer trois, toutes commençant par un « c », qui constituent ma pyramide du risque.

Confiance A la base, il y a la confiance en soi. Elle est essentielle ! Le positivisme et l’optimisme sont presque un devoir pour tout starter. Comment voulez-vous créer la confiance ou la susciter si vous en manquez vous-même? Il existe des clés pour créer et améliorer sa confiance. Ce n’est pas inné. Un peu plus d’estime de soi, d’expérience et de culot peuvent vous permettre de vous affirmer plus facilement.

Complicité Ensuite, il y a la complicité. Complicité affective (conjoint, enfants, parents, amis,…). Elle est importante pour votre propre confiance et votre équilibre. La complicité, c’est aussi le réseau, notamment professionnel et de connaissances. Il vous permet d’aller plus vite au but en déployant moins d’efforts. Bref, complicité et réseau vous rendent plus efficaces et plus efficients.

Conquête Enfin, il y a la conquête. La confiance en vous et la complicité créent les conditions pour conquérir les clients, les marchés ! Pas de clients, pas d’entreprises. C’est dire si tout est lié…

Alors, entreprendre, une histoire de C ? La démonstration est faite. Reste à l’appliquer au quotidien. C’est une autre histoire, qui appelle sans doute un 4ème C. Parce que cette aventure s’apparente un vrai Challenge ! ET pour ça nous avons la clé : www.challengeonline.be

Et vous, avez-vous fait de vos démarches entrepreneuriales une histoire de c… ?

Comment appliquez-vous ces principes au quotidien? N’hésitez pas à témoigner.